Accusé d’offense à la sûreté de l’État, trouble à l’ordre public, atteinte aux institutions de la République, téléchargement, diffusion de photos, dessins, de nature raciste ou xénophobe, menaces, violences et injures par le biais d’un système informatique, le procès en appel de Mamady Condé a pris fin ce jeudi.
Condamné en première instance à cinq ans de prison ferme avec une amende de 100 millions de francs guinéens, Madic 100frontières a vu sa peine réduite à un an de prison ferme sans amende.
Arrêté pendant la période électorale qui a permis à Alpha Condé de briguer un troisième mandat, ce militant de l’UFDG a reconnu les faits qui sont reprochés et a plaidé pour une clémence de la cour.
Fatoumata Camara pour friaguinee.net
