Beaucoup de mouvements de militaires ont été constatés dans la capitale bissau-guinéenne. Des cordons armés ont été déployés autour de certains bâtiments officiels. Pour l’instant, on ne connaît pas les intentions des assaillants.
Mais dans un communiqué publié quelques heures après les tirs de feu, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest «condamne cette tentative de coup d’État et tient les militaires responsables de l’intégrité physique du président Umaro Sissoco Embalo et des membres de son gouvernement».
RFI