AprĂšs une journĂ©e remplie, par l’accomplissement d’un devoir civique qui est le vote, ici Ă Fria notamment dans les centres de Tito , Cabral et IPS l’heure est au dĂ©pouillement.
Le constat des membres des bureaux de vote est la faible affluence des Ă©lecteurs …
InterrogĂ© sur le vote, un citoyen qui n’a pas « perdu sa journĂ©e devant un bureau de vote » selon ces mots soutient qu’au regard de ce qui se passe dans le pays notamment Ă BokĂ© et ailleurs, ne lui donne pas le courage de voter parce que sa voix n’aura aucun impact.
« Je suis recensĂ©, j’ai ma carte d’Ă©lecteur mais je prĂ©fĂšre rester chez moi, dormir et regarder la tĂ©lĂ© au lieu d’aller perdre ma journĂ©e devant un bureau de vote. Depuis que j’ai regardĂ© un reportage sur les fraudes sur les ondes d’une tĂ©lĂ©vision de la place, je suis complĂštement dĂ©couragĂ©. Actuellement, ma peur c’est la tournure que peut prendre les Ă©vĂ©nements quand les rĂ©sultats seront publiĂ©s » a-t-il affirmĂ© sous anonymat
Pour l’heure, le dĂ©pouillement continue sous les yeux des reprĂ©sentants des partis politiques, qui dĂ©jĂ commencent Ă passer leur crĂ©dibilitĂ©.
 »Campagne et vote semble ĂȘtre aux yeux des rĂ©sultats, deux choses diamĂ©tralement opposĂ©es. »
Nous y reviendrons !
Mamadou Barry
Tel : 628 00 99 10