Fria/Tabaski: ce que Makhissa et Sankhon demandent à la population !

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A l’instar des autres localités musulmanes de Guinée et du monde, la fête de Tabaski a été célébrée Dimanche 11 août 2019 dans la cité de l’alumine.

Comme à l’accoutumée, c’est le stade konko Sylla qui a servi de cadre aux autorités préfectorales et communales, ainsi que des milliers de musulmans venus des différents quartiers, pour accomplir leur devoir religieux.

A côté de ces derniers, des ressortissants de Fria ont massivement fait le déplacement vers leur ville d’origine pour célébrer la plus importante fête musulmane auprès des siens. C’est le cas du Directeur National des impôts et du Directeur Général de la Caisse nationale de sécurité sociale.

Après le sermon de l’imam qui était axé sur le pardon et la quiétude sociale le Directeur national des impôts a d’abord exprimé ses sentiments de satisfaction à l’endroit de la population de Fria.

« Aujourd’hui c’est un sentiment de paix et de réconfort qui m’anime du fait que j’ai vu la population de fria sortir massivement pour glorifier le tout puissant Allah à l’occasion de cette journée spéciale. Je me réjouis de ce comportement des jeunes de Fria » s’est réjouit Aboubacar Makhissa Camara.

Poursuivant son allocution au micro de votre quotidien électronique friaguinee.net, le numéro un de la Direction nationale des impôts n’a pas manqué d’inviter la population de Fria à respecter les lois et de faire la promotion de la paix et de la quiétude sociale dans la cité de l’alumine de Fria.

« Le message que je peux lancer à l’endroit de la population de fria c’est d’être solidaire, d’accepter le pardon pour cultiver la paix dans la ville afin de lutter pour le développement socioéconomique de Fria. Je prie Dieu qu’on se retrouve ici pendant plusieurs années pour passer plusieurs fêtes ensemble, que la paix reigne en Guinée et à Fria particulièrement » a lancé le le natif de sombory à ses frères et sœurs de Fria.

Le patron de la Caisse nationale de sécurité sociale quant à lui, sans vouloir marcher sur la langue de son prédécesseur, a réitéré les mêmes sentiments que ce dernier. Pour Malick Sankhon, la paix et la quiétude doivent être primordiales dans la cité.

Après la grande prière, les deux se sont rendus respectivement sur les tombes de la mère de Malick Sankhon au quartier Katourou 1 École et du père d’Aboubacar Makhissa Camara dans son village à Tormélin pour faire des prières pour le repos de leurs âmes.

Mohamed Kolya Bangoura pour friaguinee.net

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