La cour d’assises de Bamako a invoqué une loi controversée adoptée en 2019 au nom de la réconciliation et offrant la possibilité de l’amnistie ou de la grâce aux auteurs de certains crimes perpétrés pendant la crise de 2012.
Elle a également invoqué un accord de dédommagement conclu entre l’État et les parties civiles. Pas de condamnation et pas d’acquittement.
Avec RFI