Je ne comprends pas vraiment le Guinéen !
Qui peut être à la base de l’élimination du Syli national en huitième de finale si ce n’est l’entraîneur Kaba Diawara ?
Morlaye Sylla, vice meilleur joueur du CHAN récent au Cameroun, est le remplaçant indiscutable de Naby Keita. Même TOTO le sait.
Kaba Diawara le savait pertinemment, mais avec son orgueil habituel et son entêtement à ne jamais faire ce que tous les spécialistes avisés du Syli national souhaiteraient ou préfèrent, il a préféré un Aguibou Camara, réduit par la blessure à la place de Morlaye Sylla. L’enfant de Coronthie est connu pour ses coups francs dans les 15, 17 ou 20 mètres.
Seydouba Soumah dit Konkolet, celui qui a fait qualifier la Guinée à la Can camerounaise, en marquant l’unique du match contre le Mali au stade de Nongo, n’a eu droit à aucune minute de jeu.
Qu’est ce qu’il a fait à l’entraîneur Kaba Diawara pour être traité de la sorte ?
Mieux, comment peut-on aller à la CAN sans un latéral droit ?
Comptabilisons les quatre sorties du Syli : deux buts marqués par un latéral et un médian. Aucun attaquant n’a marqué un seul but. Incroyable.
Le Syli avait l’une des plus mauvaises attaques à la CAN.
Ne cherchons ailleurs la désillusion du Syli national à la Can.
Kaba Diawara en est responsable.
Tirons les leçons rapidement pour préparer les éliminatoires de la CAN en Côte d’Ivoire en 2023.
Le ministre des Sports Béa Diallo, l’un des soutiens de l’entraîneur Kaba Diawara, doit tirer toutes les conséquences.
Ibrahima Sory Diallo, Journaliste-Consultant.
