Si au cours des dernières semaines des langues délirantes se sont évertuées à parler du natif de Faranah selon leur entendement dans l’imaginaire, les réalités sont toutes autres autour du numéro 2 du régime de transition. En voulant à tout prix nuire à l’image humaniste du dynamique Président du Conseil National de la Transition, les détracteurs tentent le tout pour confondre privilèges et actes humanitaires de cet homme d’Etat qui n’a que le souci de tirer son pays vers la répartition correcte de l’ensemble des acquis de la transition ouverte le 05 septembre 2021.
Soucieux du bien-être de l’ensemble des couches de la société guinéenne, Dr Dansa Kourouma a toujours porté une oreille attentive aux besoins et au bien-être des personnes vulnérables. C’est le cas de la coordination nationale des personnes handicapées qu’il a reçu le vendredi 19 aout dernier dans le cadre de la remise du rapport d’enquête sur les besoins primaires des personnes handicapées en Guinée. L’initiative est de la Coalition citoyenne pour les élections et la gouvernance en Guinée (COCEG), sur financement du National Démocratic Institute (NDI). Elle vise à plaider auprès de l’organe législatif de la transition pour la prise en compte dans les prochaines Lois, des préoccupations des personnes handicapées. Il faut dire que la volonté du président du CNT et celle de son institution à faire avancer les politiques publiques pour la pleine intégration des personnes handicapées dans la société plus que marquante depuis sa prise de fonction. Il n’hésite donc pas à ouvrir les portes de son institution à toute organisation et structure nécessiteuses pour l’amélioration de la législation en la matière.
Mais que gagne-t-on à fouiner autour de ses privilèges d’homme d’Etat ?
Il faut bien qu’ils aillent trouver ailleurs, ces langues qui ne voient que du mal partout. Sinon, la prise en charge par l’Etat des travaux d’aménagement de l’accès à la résidence officielle d’une personnalité outre que le numéro 2 du régime de transition ne saurait faire en autant de jours, les choux gras chez certains.
Visé par une sorte de cabale bien organisée et prête à tout pour ternir à sa réputation de personnalité aux mains propres, des individus de mauvaise foi vont jusqu’à s’en prendre aux travaux d’aménagement de l’accès au domicile privé de l’homme d’Etat qu’incarne Dr Dansa. Des travaux qui, s’ils s’exécutent à termes, permettront sans aucun doute à l’ensemble des riverains de cette localité de Coyah d’oublier la galère liée au manque de routes accessibles et convenables qui a fait défaut au cours des dix dernières années de gouvernance en Guinée. Au-delà de son caractère avantageux, cette initiative permet à l’Etat de non seulement exécuter les travaux d’intérêt général tiré des privilèges de ses hauts commis, mais surtout contrôler tout financement prélevé du trésor public. La résidence du Président du CNT n’est d’ailleurs pas la seule, car les mêmes travaux s’étendent également au domicile du nouveau premier ministre Bernard Goumou et bien d’autres personnalités de la transition.
Alors qu’on se calme, car la Guinée change et la transition engagée par le CNRD en est une illustration parfaite de ce reflet du chemin du renouveau qu’emprunte le pays. La volonté des nouvelles autorités de Conakry à doter le pays d’infrastructures de qualité n’est plus à démontrer, tant les chantiers fusent d’un peu partout à travers le pays. Nonobstant le retard accusé par le pays en matière de réalisation d’infrastructures routières urbaines et rurales, le CNRD et le gouvernement multiplient stratégies et efforts pour redresser la barre.
Hamza Bah