Pendant que les guinéens s’occupent de la consolidation de la Paix, la gourgandine est revenue réaffirmer son statut de parti de désinformation et de la honte. Dans leur habituelle tentative de s’accrocher à ceux qui portent respect et considération, ce Parti de mauvaise vie politique n’a vu que le PEDN comme tremplin.
Même dans l’adversité, la logique voudrait que les accusations soient soutenues par des faits ou des arguments valables. Le mensonge n’a jamais servi durablement son émetteur.
Les responsables de l’UFR disent que c’est grâce à eux que le PEDN est au CNT, le PEDN auprès duquel ils se sont donné une image acceptable. Cela relève de la flagrance. Quelle honte ! Il est utile de rappeler que dans la Convergence de l’Opposition Démocratique (COD), malgré son nombrilisme congenital, ce parti a soutenu qu’en dehors du siège du PEDN, malgré l’absence du pays de SEM Lansana Kouyaté, la COD ne saurait attirer l’attention crédible de l’opinion. À l’époque, ils avaient fraîchement décampé leurs postes de hAUT rEPRÉSENTANT et de mINISTRE donnés par un Président qu’ils avaient auparavant qualifié de non réélu. Au lieu d’assumer leur caution de crimes économiques et de sang, commis entre 2016 et 2018, ils amusent la galerie avec des bavardages et tweet propres à un enfant mécontent de la couleur de son jouet, mince. Ils ont la nostalgie de leur propre statut de wagon. Tout le monde sait comment les membres du CNT ont été choisis. S’ils étaient si forts au point d’aider un autre parti à siéger, c’est qu’ils géraient le pays. C’est un manque de respect à ceux qui étaient en face d’eux car ils sont connus des Guinéens.
Ils disent également que c’est grâce à eux que le PEDN a été à la CENI, ce qui est aussi la preuve du manque d’idées face aux besoins pressants des Guinéens. Ainsi, ils empruntent la voie de l’affirmation gratuite et du déshonneur. Tout le monde sait quels étaient les critères pour la défunte CENI dont le principal était la participation à deux élections nationales. La loi sur la CENI existe encore.
Une chose est claire, l’UFR est en perte de vitesse et vit ses derniers instants. Ils ont tellement vendu leur âme au diable qu’il ne leur reste que le minimum pour se débattre de la dernière minute d’existence politique.
Leur acharnement est un signe de vitalité du PEDN et de son capital-sympathie croissant. La marche de l’Espoir ne saurait plaire aux égotistes qui s’alarment face à tout ce qui grandit l’autre. Les faits du genre feront tout un mémoire. Ils en tremblent et tant pis pour eux !
Mohamed CISSÉ
Porte-parole du PEDN